Courrier...
Bonjour Annie,
Je viens de lire ton édito...
Marrant.
Je partage exactement le même point de vue.
La compétence véritable se fait de plus en plus rare.
Dans toutes les sphères.
Du psy au rénovateur...
Et la prétention se fait de plus en plus grande.
Peux pas supporter.
Merci pour ce coup de gueule.
Fait du bien.
Line Dicaire (artiste)
------------------------------------------
J’ai beaucoup aimé et suis en parfait accord avec votre article « Pourquoi j’ai arrêté de peindre ? ». Article choc de vérité dite sans dentelle ni crémage. Opinion partagée par beaucoup dans le domaine artistique professionnel, mais non dite sur la place publique parce qu’au Québec…. « on est dont fin ! »
Françoise Luttgen (responsable communications)
------------------------------------------
Bonjour Annie,
Je viens de lire ton édito...
Marrant.
Je partage exactement le même point de vue.
La compétence véritable se fait de plus en plus rare.
Dans toutes les sphères.
Du psy au rénovateur...
Et la prétention se fait de plus en plus grande.
Peux pas supporter.
Merci pour ce coup de gueule.
Fait du bien.
Line Dicaire (artiste)
------------------------------------------
J’ai beaucoup aimé et suis en parfait accord avec votre article « Pourquoi j’ai arrêté de peindre ? ». Article choc de vérité dite sans dentelle ni crémage. Opinion partagée par beaucoup dans le domaine artistique professionnel, mais non dite sur la place publique parce qu’au Québec…. « on est dont fin ! »
Françoise Luttgen (responsable communications)
------------------------------------------
Édito
Je mentirais, si je disais que je n’ai reçu que des compliments quoique celui de Monsieur Yves Laroche, galeriste de Montréal, m’ait beaucoup touchée, ainsi que le message téléphonique d’une professeure de littérature qui me dit « merci d’exister ! » - Pas moi, le journal, bien sûr !
Ces réactions diverses et variées nous donnent le pouls de nos lecteurs. Si le fléau penchait trop dans un sens, nous aurions des décisions à prendre…peut-être. En attendant, il est clair que nous devons affiner encore et encore nos critères de qualité en refusant tout compromis. D’où le choix de notre positionnement :
Traces Magazine (Laurentides) – L’empreinte culturelle.
Quelle empreinte voulons-nous laisser ? – Celle d’un média mou et gentil avec ceux qui se donnent beaucoup de mal pour y arriver et qui ne laisseront aucune trace derrière eux ? Celle d’un vecteur de communication intelligente représentant l’appartenance et la fierté d’un territoire qui ne cesse de grandir ? – Que veut-on présenter au monde et à la postérité ? – Selon les dernières statistiques de Google, TRACES est lu dans 35 pays. Il me semble que ce chiffre comporte quelques responsabilités…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire