Il faut bien que ce soit la
Suisse, un des plus petits pays, qui intervienne auprès du Canada, un des plus
grands, pour souligner la bêtise de fermer la seule école d’horlogerie du pays.
Cette institution est mondialement reconnue; encore un fleuron qui saute. Notre fierté
nationale va bientôt se réduire à une peau de chagrin. Il faut croire que nos
dirigeants sont bien ignorants de ce qui se passe sur le territoire qu’ils
prétendent gouverner. Pas étonnant que le mot artisan soit si dévalorisé et
qu’il faille rajouter « de métier d’art » pour combler le vide de
sens.
S’épivarder
J’adore ce mot dans son sens
original. J’y vois un bel oiseau étirant ses ailes, lissant ses plumes au
soleil, image de bien-être et de préparatifs au prochain envol.
En ce premier mois de sa septième
année, TRACES s’épivarde : Plus de plumes, plus de territoire, un air
ascendant. Des artisans de notre art de vivre, concepteurs, designers, et
autres créateurs ont contribué à ce numéro et nous sommes heureux de leur
ouvrir nos pages car nous n’avons jamais douté que promouvoir la beauté est un
acte essentiel à notre culture.
Tout commence par un dessin, tout
créateur est un artiste !
Entièrement d'accord avec vous concernant l'École d'horlogerie !!!
RépondreSupprimerNos dirigeants devraient s'y inscrire plutot que de la fermer. Ils auraient ainsi une chance d'être à l'heure du temps au lieu d'être toujours en retard dans l'évolution !!!